« Les femmes sont les premières victimes de l’émigration clandestine »

axelle 107 - mars 2008


Propos recueillis par Faustine Vincent.

Fatoumata Barry, Malienne de 45 ans, vit à Didieni. Situé à 160 kilomètres de Bamako, ce village d’agriculteurs ne bénéficie ni d’eau courante ni d’électricité. Sans nouvelles depuis 2003 de son fils disparu en tentant de rejoindre l’Europe, Fatoumata Barry s’occupe aujourd’hui des femmes dont les enfants ou les parents ont émigré clandestinement. Active au sein de l’association Retour, Travail, Dignité, elle nous a expliqué pourquoi les femmes sont, à ses yeux, les premières victimes de cet exode.

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